Poésie slave
Michaël Adamus
Chêne Legida
…Quand le jour de gloire reviendra…
Pour renaître au milieu du brouillard et du feu,
…Et quand la malédiction éclate le temps mort,
afin que les épines de mon âme, hurlements de douleur, la forêt,
Des tas légers de vieilles pensées,
Pouvoir, Prières et paroles oubliées aujourd'hui,
Pour retourner dans les Royaumes à nouveau,
Où les anciens dieux brillent encore…
A l'aube, allume ton feu
Vers le ciel soulève à nouveau des regrets,
Attendre lentement la Cour du Dnie….
Je me souviens encore du Glory Time!
~~ J'ai vu la mort de ma Foi dans mes yeux
~~ J'ai vu mes frères mourir…
~~ Les décombres de mes rêves et de ma maison
~~ C'est pourquoi maintenant, par regret…je suis en feu….
~~ Mais comment je me tenais – oui je suis debout !
~~ Une tempête de vent,
~~ Ne détruira pas mes grandes pensées!
La Légende du Chêne par Sang Versé,
Au pays des ancêtres- se réaliser……
chanson Ślężańska (un ours)
Une nuit glaciale parmi les loups,
une chanson plane au milieu de leurs hurlements,
sur l'ancien être montagnard avec les dieux,
Un hymne versé par les larmes et le sang.
…dans un linceul lumineux,le blanc des neiges,
parmi les sapins il est venu renaître….
…oublié il y a des siècles,
dormir parmi les malédictions - faire fondre la glace…
De Brouillard et Feu, recréé,
vivant des centaines de fois…
toujours en train de mourir….
Maman te donne ma Terre
La montagne bien-aimée dort encore
parmi les malédictions…
~~ Et quand les Pouvoirs des Jours seront terminés
~~ Et ça viendra pour Moi en été,
~~ Au milieu des coeurs des Slaves
~~ Je vais tout en bas,
~~ Pour être leur Rock and Brother…
Richard Berlinski
La chanson de Bojan
Faim, air, Feu, eau
Et toute mauvaise aventure
ils seront de retour, qui serait vieux
Il a méprisé ses pères par la foi!
Animaux prédateurs à la grange
Moiré noir entre les troupeaux
Ils viendront il y a, qui serait vieux
Il a méprisé ses pères par la foi!
La maladie va se propager
Et un lit dur dans la douleur
je vais le lier, qui serait vieux
Il a méprisé ses pères par la foi!
Et quand il meurt, poignées de terre,
Où reposerait-il avec ses os ?,
N'auront pas, qui serait vieux
Il a méprisé ses pères par la foi!
Marnie va mourir ! … Déployer le vent
Ses cendres partout dans le monde –
Marnie va mourir, qui serait vieux
Il a méprisé ses pères par la foi !
Bogunka na Gople, 1840 année.
Victor Karol Lwowski
Paysage de bataille
C'est la lutte séculaire, les causes dont même les personnes âgées ne connaissent pas,
Partout où l'œil peut voir, ces armées rivalisent.
Ici la digue, se moquant des joints impuissants, établit sa supériorité,
Il exaspère l'eau et l'enflamme encore plus.
Des champs nets au loin, sont des fantassins armés dans une lance de grain,
Plus loin, le fleuve entraîne le mulet des captifs jusqu'à la prison au fond de la mer.
Ici, une légère chevauchée d'herbes acérées fait le tour de la branche du marais dans la vallée,
Qu'est-ce qui souffle dans les branchies d'une grenouille, car il sait qu'il va bientôt mourir.
La pluie appelle à l'aide, mais seule la rosée arrive,
Mais chaque goutte de rayon de soleil frappée se dissout immédiatement.
Sur le flanc de la colline, un enchevêtrement d'archers se dressait accroupi,
Et le vent étire les cordes de leurs branches, lancerait des projectiles de graines,
Qui soutiendra la terre dans leur croissance, toujours en train de sucer de l'eau en elle,
Qu'il n'accumulerait plus, traîtreusement waterboarder le gué derrière le menton.
Victor Karol Lwowski
Mer et terre
Envahisseurs d'éléphants sur le dos capitonné des vagues
COMME LES CORNES BARBARE MONTRENT DES GOUTTES DE FLÈCHES,
QUAND SEULE LA DAME LE VENT COMMANDE
ET DANS LA STABILITÉ DU TERRAIN POUR COUPER LES SANCTIONS.
MAIS LES DÉFENSEURS DE QUARTZ GARDERONT DES POSITIONS FIXES
ET LA LIGNE DES TREMPES DE SABLE SONT MULTIPLES LEURS AMBITIONS,
LEUR COMMANDANT DE LA LUMIÈRE CONDUIT LA DÉFENSE D'EN HAUT
ET LE MORAL AUGMENTE SA COURONNE RADIANTE.
La mer attaque furieusement,
MAIS LA TERRE EST DÉFENDUE PAR FERRY.
LE SOLEIL DE LA TERRE ACCÉLÈRE!
PARCE QUE JUSTE UNE GOUTTE SEULE DANS LA PROFONDEUR TOUTE,
RIPPER LES POUSSINS DE SABLE AVEC UNE ARMURE D'EAU.
LE RAY LA TUE!
LA MER ET LE VENT SOUTIENNENT!
POUR LES UNITÉS SALÉES SUR LES SOUFFLANTES,
QUE DANS DES BANDES BLINDÉES DE PRISONNIERS DE SABLE SERONT PRIS.
ET UN DROP AU DUNING ARRIVE!
Pendant des siècles, ces armées se sont dressées les unes contre les autres
OREILLES NOURRIR ET BOIRE AVEC DES SLOGGES DE COMBAT,
MURS DE SABLE CHIP GRIP!
ATTELLES RESPIRATOIRES À L'EAU!
LES BANDES DE MOUSSE SUR LES VAGUES FONCTIONNENT TOUJOURS CONTRE LES CLIPS,
CES LÉGIONS D'EAU AVEC UN SAUVAGE VEULENT SE COMBATTRE POUR LE SON,
Et le sable derrière la palissade de quartz pointue, de nouveaux barrages sont encore en construction,
POUR TENIR LES INFLOWERS, UNE PUISSANTE ATTAQUE POUR LA GRÂCE NE DEMANDE PAS VRAIMENT!
MAIS AU COMBAT, SES CANAUX FORTS SERONT CLAIREMENT PORTEURS,
ET UNE GOUTTE AUDACIEUX CONDUIT HÉROSÉMENT REFUSE.
LE CHEMIN DE LA VICTOIRE, LES VICTIMES SALÉES SONT DOUX,
C'EST LE SINGLE TALASSA ET TELLURAN ENCORE EN COURS
LES NUAGES DARK TENSENT FORTEMENT LA CATAPULTE DU BRAS,
D'EUX L'ARMÉE DE GRAD TRZASKA CHUTE, CE QUI SERA VAINCRE.
CES TICUES GELÉES SONT L'ARME SECRÈTE DE L'EAU,
COMMENT LES BOULES DORMIRONT LES CIRCUITS TERRESTRE,
QUE LES REPAS NE VIENNENT PAS AUX GRANDES ÉPAULES DE LA DÉFENSE.
ÉVENTUELLEMENT RENFORCÉ PAR DIVERSES RACINES,
COMMENT LES BUNKERS SERONT-ILS CONNECTÉS AVEC LE RENFORCEMENT DE LEURS TIRAGES,
JE SAIS DE QUOI D'AUTRE ME SOUVENIR D'AUTRE.
JOUR APRÈS NUIT PART, ET LE FRONT DE L'ARMÉE DÉDIE LA CAPACITÉ.
LE SACRIFICE DE SON CONTINUE AUX ESPACES MULTIPLES ET NOMS PAR COUPE.
LA RIVIÈRE CANONADA SOUTIENT LES COLONIES DE LACS DES BRANCHES INTÉRIEURES.
GUERRIER Escadrons DE PROTECTION FRONT COURANT INÉGALÉ,
CE QUI COULE DU CUR DE L'ÉLÉMENT,
ET DONNE LA FORCE DE L'ARMEE, ET CET AVANTAGE RECEVRERA.
A POSÉJDON IL Y AURA PUISSANT, LES PRIÈRES SOULÈVENT,
SEA Hussars, rugissant plumes mousseuses, plus effrayant.
DANS LES PRISONNIERS DE LA GROTTE D'EAU LES PRISONNIERS DU TENSE COMMUN DE MENISK,
MAIS LEUR DURE EST DEMANDE, CAR LES COLONNES NE MARCHENT MEME PAS.
LE SEIGNEUR, LE VENT, MOZOLLY BROYANT LA FORTERESSE DES ROCHERS,
ET LA TEMPÊTE ATTENDANT UN SIGNE PUIS SOUS LE COUVERCLE LE NUAGE COMMENCE,
UNE PLUIE AÉRIENNE QUI BRLERA LA TERRE AVEC UNE PLUIE DE FENMERS,
QUE QUI A ALIMENTÉ LES POSITIONS DE SA CHUTE DE GARDIENS.
UNE CHUTE D'EAU MAJEURE AVEC UN BANG DANS LES CHUTES DE GORGE DE TERRE,
IL Y AURA COMPLET PAR CES MOTS DANS LES FENTES:
TIREZ, CE QUI EST MIEUX POUR LES NATIONS DU SABLE!
QUE LA TERRE TOMBE ENCORE SUR MES GENOUX AVANT L'EAU!
FAITES VOTRE MAÎTRISE DANS UNE HABITUDE DE MER SAUVAGE,
CE QUE LE PLUS FAIBLE ANNONCE DANS LE PAYS TOUJOURS CONQUIS,
C'EST LE PLUS HAUT BUT DE L'EAU DE GUERRE,
AVANT QUE, QUELLE TERRE EST Érigée par la DUNGE DU CHÂTEAU.
EN ATTENDANT L'ATTAQUE, L'ÉQUIPE DE BATEAU LAMES LEURS ÉPÉES,
LE PRIX SUR LE RETOUR DES VAGUES DES PRISONNIERS EN BLOUSON PASSAGER.
MAIS DES REPRÉSAILLES SERONT PRÉPARÉES,
QU'EST-CE QUE LE SANG CIRCULE DANS L'ESPACE EAU JUSQU'AUX SEUILS.
VOLCANS SOUTERRAINS L'ATTAQUE SE PLANIFIE DE NOUVEAU,
LES PERSONNAGES MAGMA KNIGHTS DE LAVA PRESENT,
POUR FRAPPE AU DOS,
ET IL Y A VENIR AVEC L'ARMÉE FRONTIÈRE.
UN STAND TERRESTRE AU CUR DE L'OCÉAN DE LA MORT,
ET CETTE FERME D'EAU CONTINUE ENCORE EN MOUVEMENT POUR CONDUIRE,
CETTE ÎLE DE TRIOMPHE PARMI LA MOUSSE ÉPAISSE,
QUE SE PASSE-T-IL DE SON RIVER LE SNOWMAN,
LA FIERTÉ EST LE GRAND SOLEIL CE QUI LE CHAUFFE,
ET ÉTEND SES ORDRES DE VIE,
LAURAS LUMINEUX O IL EST FAUX DE REPOSER UNE FLEUR,
MAIS POUR VENIR COMBATTRE ET OBTENIR LA MORALE AVEC VOTRE CROISSANCE!
SUR L'HORIZON DES MONTAGNES DES ENNEMIS.
CELA NE PROVOQUE PAS LES DÉPARTEMENTS DE LA NEIGE, QUE LE GLACIER MONTE
QU'IL REFROIDIRA LES SOMMETS AGREABLES AVEC UN AREST FROID,
Et ainsi il est resté caché dans les rochers pendant des siècles!
LIQUIDITÉ EN ORDRE CONSTANT TEMPÊTE CONTINUE,
LA LUTTE ÉTERNELLE À NOMOS EST ÉTRANGÈRE!
jarre gody
Épuisé par le murmure de Swarożyc,
ercy a sacrifié Marzanna.
Le monde a montré mollement ses visages,
Pour pouvoir admirer la rosée du matin.
Le printemps est arrivé avec une tempête dans la suite,
Perun a réprimandé le ciel d'un coup de foudre,
Et elle a couvert la terre de vert vivant,
Et la pluie n'a pas oublié de la boire.
Strzybóg a chassé le sec et le vieux,
Fraîcheur révélée, chassé le froid,
Comme la mère d'un rêve d'enfant, j'ose,
Il a fait fondre la glace avec son souffle chaud.
L'eau gonflée d'une nouvelle vie,
Mme Mokosz est humide et fertile,
Toute la nature est audacieuse pour l'accouplement,
Il est temps, ce qui a faim a faim.
Les jours et les nuits s'épargneront cruellement,
Le soleil et la lunna se disputent les autorités,
Jusqu'à ce que l'été de la querelle soit coupé,
Et le solstice ne viendra pas arbitrairement.
Il brillera hardiment dans nos yeux
Joanna Gacparska
Une prière voluptueuse à Lada
Lado, bonne dame,
Il me tient la main,
Enlacés de couronnes,
Et en eux un verre de vin,
Aujourd'hui je le bois avec lui,
Qu'il en soit toujours ainsi,
Où fera-t-il le pas,
je veux aller partout avec lui.
Allez, bon Lado
Reste avec lui pour toujours,
Créer un troupeau cohérent,
De te blâmer pour rien
Pour toujours et partout,
Qu'il soit à moi.
Lado, bonne dame
Laisse moi le suivre.
Prière pour la coupe de cheveux
Ziémio, donne moi de la force,
je créerais, existé et combattu,
Flamboyant, chaud,
Laisse moi avoir assez de force.
Donne du vent à mes pensées
La force et la vitesse de la tempête,
Ils sont sortis, donne moi une âme pure,
Dont le destin est de bon augure.
Je vous demande, grands dieux,
Donnez-moi un nom digne,
Donne force et santé,
Sagesse, qui ne passera pas.
je sacrifie mes cheveux,
Passer d'un garçon à un mari
Je crois aux dieux de mes ancêtres,
Je veux vivre ma vie dans la dignité.
Kosopleciny
Ziémio, donne moi de la force,
Que je pourrais créer et exister,
Flamboyant, chaud,
Mes jours brillent favorablement.
Donne moi du vent à mes pensées
La force et la vitesse de la tempête,
Ils sont sortis, donne moi une âme pure,
Dont le destin est de bon augure.
Je vous demande, grands dieux,
Donnez-moi un nom digne,
Donne force et santé,
Sagesse, qui ne passera pas.
Aujourd'hui ils vont tresser mes tresses
Et je mettrai la couronne sur ma tête,
je vais me transformer en femme,
Je vais commencer une nouvelle vie aujourd'hui.
Une prière voluptueuse à Swarog
Swarże, ces deux personnes,
Il veut rejoindre ses destins,
Dans la douleur, Souffrance, labeur,
Jusqu'à ce que leur temps soit écoulé.
Dans le bonheur et toute joie,
Dans tous les tournants de la vie,
Ils veulent rester en amour commun
Leur vie conjugale.
Aujourd'hui, ils sont balancés,
Connectez Swarogu à leur destin,
Qu'ils soient la star heureuse
Il brille pour tous les temps.
Que ce soit pour les jeunes,
Laissez la joie dans les âmes de leurs invités,
Aujourd'hui c'est leur fête de mariage,
Des vacances de leur grand amour.
Swarogu, donne-leur de la patience,
Sagesse et compréhension,
Qu'ils gardent leur amour,
Qu'ils ne soient pas touchés par la souffrance.
Prête-leur du bonheur, Swarog,
Suivre des chemins droits,
Que chacun des anciens dieux,
Il leur donne ses faveurs.
Chanson sur Kupala
Sous un vieux chêne, derrière le village et le champ,
Un cluster humain se rassemble,
Chanter, ils dansent et forment un cercle,
Le visage pâle de la lune brille.
Les garçons, filles; ardent,
Ils dansent avec la danse des flammes,
Leurs têtes chaudes ne seront pas refroidies par le vent,
Ils sont trop changés ce soir.
Elle a acheté, Elle a acheté,
Tu ne t'endormiras pas ce soir,
Elle a acheté, Elle a acheté
Ouvrez grand les yeux.
Elle a acheté, Elle a acheté,
Ouvrez grand les yeux,
Elle a acheté, Elle a acheté,
Quelqu'un vous charmera.
Des miracles se produiront ici bientôt,
Les couronnes couleront sur l'eau,
Déchirer une fleur de fougère, si tu es audacieux.
Vous recevrez un prix avec un beau.
Ils virevoltent dans la danse, plus vite et plus,
La chaleur brûle les reins et le cœur,
La bouche se joint, les mains se joignent,
Un autre coin monte le perchoir.
Elle a acheté, Elle a acheté….
Le ciel est éclaboussé d'étoiles aujourd'hui,
Mousse dans la forêt sèche et douce,
Cette nuit, la réalité se confond avec les rêves,
Les paroles de la chanson s'emmêlent.
Alors va hardiment dans le fourré de la forêt,
Le feu vous bénit aujourd'hui,
le garçon est perdu, il va perdre la fille
Avant que l'aube du ciel saigne les cieux.
Oubli
Mère Ziemio, comment je m'ennuie de votre contact
Pieds nus, mes pieds sont chaussés,
Les pierres des rues vont manger mes traces,
Ils couvriraient l'écho de leur cri de nostalgie.
La corne s'est brisée – comme c'est parfait
Un symbole de notre vaine bravoure,
Ce sont des batailles et des victoires oubliées,
Pas d'éclat de gloire.
Nous sommes couverts d'étranges ténèbres
Et ils nous font mal aux yeux
Donc, qu'ils ont perdu leur don prophétique,
Qui meurt sans liberté.
Les dieux ont détourné leurs visages,
Parce que nous les avons trahis et nous-mêmes,
À la recherche d'un dieu dans un ciel étrange,
Alors qu'ils marchaient parmi nous.
Chant des rayons du soleil
Sortez de votre porte – la nuit se meurt,
Est – site d'incendie,
Tends tes bras dans la braise,
ferme tes yeux, être proche.
Sortir dans les prés, le crépuscule s'estompe
Les oiseaux ont ouvert leurs nids,
Plus rapide! avant que l'obscurité ne s'endorme
L'enterrement de la lune est mort.
Sortir, parce que nous ne te laisserons pas dormir,
Les firmaments sont en feu,
La rosée est déjà en train d'argenter les sanctuaires,
Les murs de la nuit s'effondrent.
Sortir à la chose d'or,
Touchez l'herbe avec votre main,
voir – le ciel est clair,
Le soleil jette une lueur sanglante.
Le ciel sans limites s'ouvre,
Le soleil se lève depuis des lustres,
La lumière dévore les ténèbres,
Incline-toi devant eux mec.
Chanson de Perunov
Pernie brillant Seigneur des ténèbres du temps,
Le visage du visage illumine l'étendue noire du ciel,
Péroun est terrible, que des fourrés des forêts
Vous couvrez d'un manteau de goudron par une chaude journée,
Seigneur des pouvoirs anciens, je t'invoque,
What0 Ian tu renverses, le manger dans le vent,
Tu fais un geste, au cœur de la nuit
Tu as frappé la tempête qui fait rage avec ton tonnerre.
Tu le pinces au sol avec un coup de foudre
Et les animaux de la forêt et les arbres tordus
Tu les plies jusqu'aux racines en prosternation
Dans la couronne d'éclairs pâles et mortels.
Mesdames aux yeux brillants et ardents
Épée et hache à la main
Prête-nous des pouvoirs anciens et secrets.
Que ton bouclier nous protège des ennemis.
Seigneur des Enfers
Veles sort d'un trône d'or,
Il viendra aujourd'hui du coeur de Nawia,
Il apportera des âmes, qui depuis la mort
La chaleur consomme le désir sauvage.
Ils viendront avec un oiseau et le vent avec une brise,
Au coin du feu ils seront bientôt chauds,
Célébrons Dziady en festoyant et en chantant,
Avant qu'ils ne s'en aillent avant l'aube.
Chèvre hirsute ! Cavalier!
Dévoreur de morts, Le protecteur de la erce!
Venez avec les vents des retraites du nord,
Glacer le cœur des moqueurs impies.
Gardien de la sagesse, Souverain de la Source de Vie,
Héros lunaires de Troie,
Que les âmes sortent de leur cachette ce soir,
Pour un gâteau et un feu lumineux.
Mokosz
Rokosz, Mère, fertile avec l'humidité,
Emmène-moi dans tes coupes cool ce soir,
Les vents rendent les arbres dénudés.
Ils se blottissent dans ton ventre jusqu'à ce qu'ils s'endorment.
Tu vas t'endormir, Mère, grand chagrin,
Qui frappe mon coeur dans ma poitrine,
Je regarde les champs d'hiver enchaînés,-
Glace, quelque chose pleure dans son sommeil sous la glace.
Étincelles enchantées de vert pâle,
A moitié endormi et impatient,
Pas de tiges florales et pas de racines,
Chaud et léger si gourmand.
Un printemps chaud me manque comme ils le font
Quand les champs sont vert clair,
Les arbres se réveilleront pour pousser dans le ciel
La glace se transforme en eau.
Rokosz, ouvre tes cuisses devant le soleil,
Laissez les rayons chauds vous fertiliser,
Que ton ventre soit chaud comme du sang
Il réveillera ces champs comme du sang coagulé.
La dernière erca
J'entendais encore des voix quand j'étais gosse,
Mes petites mains ne connaissaient pas le silence,
J'ai rejoint mon destin avec le feu et l'eau
Et j'errais mes réflexes au milieu des étoiles.
Bor écartait mes bras verts
Et il a donné un avant-goût du mystère –
Nature éternelle et sauvage
Il bat avec du sang sauvage dans mon artère.
Jeune, j'ai parcouru les routes,
Des monticules de mes ancêtres et des huttes de mes frères –
Aux temples, où vivaient les anciens dieux
Avant que le monde ne les trahisse et ne les perde.
J'ai enseigné la foi et pour les lois du respect,
Et le monde m'a appris l'humble gratitude,
A l'image d'une boisson noble
Il m'a bu dans le gobelet de la sagesse séculaire.
Mon âge mûr a tracé des lignes d'inquiétude
Sur mon front, comme sur l'écorce d'un arbre,
J'ai vu ! Le feu a consumé les bosquets sacrés, villages
Et le cri des assassinés a transpercé mes tripes.
J'ai vu ! Les ruisseaux tombaient comme la pluie,
Et j'étais destiné au désespoir et à l'angoisse,
Et les mains impuissantes tremblent de regret
Quand mes yeux étaient tourmentés.
Je resterai au pays de mon destin
Après tout, ils n'ont pas pris ma foi de mon cœur,
Dans le bûcher de feu sans peur ni tremblement
Le dernier viendra, vieux prêtre – erca
Femme – Arbre
N'importe où la nuit, n'importe où le jour,
Il vous trouvera sur votre chemin,
Tu seras touché par mon ombre de souvenirs
a de la chance, ou dans un mauvais moment.
N'importe où le jour, n'importe où la nuit
Vous passerez dans les jours à venir,
Être éveillé ou dormir paisiblement
Tu peux sentir ma peur sans feuilles.
je me penche sur ta tête
J'aime les contours de mon visage
je respire et te pénètre
Et je monte la garde sur ton sommeil.
je tremble oui, que mon cœur se brise en moi,
Les jus vibrent dans l'obscurité du corps,
Je tourbillonne impuissant, immobile
Parce que j'entends des pas doux à l'aube.
Je ne t'arracherai pas du ventre de la terre
Et l'utérus ne t'absorbera pas
Ma voix muette ne t'atteindra pas
Même si une flamme brûle dans mon coeur.
Qu'est-ce que tu as rêvé de dormir si près de moi
Je ne sais pas et personne ne sait
Même si tu as passé toute la nuit avec moi,
Vous oublierez l'Arbre-Femme.
paquet
Une meute de loups se précipite à travers le lac gelé,
Les corps gris fléchissent, les yeux d'or brillent
Et de temps en temps une ombre jettera parmi le troupeau,
Il grogna d'un ton creux, avec son croc, la glace blanche coulera avec du sang.
À travers la forêt, à travers la neige, backwoods inconnus,
La poursuite d'un loup noir se précipite dans le silence hivernal,
Parmi les grands pins, sapins et pins trapus,
il se précipite, se précipiter aveuglément, de la fatigue de la buse.
Le troupeau s'est arrêté dans la clairière d'argent,
Il s'assit et leva sa tête brune,
Cent gorges et un chant de loup ont commencé,
Et le vent l'a emportée et soulevée sous les nuages.
Le sang coulait dans leurs veines, l'appel de nostalgie s'est réveillé,
Une soif de gore, dans chaque corps de loup,
Que le son d'un coup pourrait refroidir,
S'il n'y avait pas tant d'ombres de loup.
Le chant de la mort a été porté à travers les bois sauvages,
Chacune des créatures de la forêt s'est figée en mouvement,
Connaissance, que la meute versera du sang cette nuit
Et que tout le monde mourra, qui tombera dans ses pièges.
La lune pâlit, la foule s'est précipitée
Suivre les traces de l'animal avec un foutu grognement,
Dans une frénésie, qui séduit, perd et enivre
Qui te pousse au meurtre, à mort, à la trahison.
Les loups les chassent, irresponsable
Chaque nuit d'hiver sur le tapis blanc,
De leurs débuts de loup, depuis l'aube du monde
Et alors tout le monde se précipite, qui a le coeur sauvage.
Métaphoses
Ne regarde pas mon visage ce soir
La curiosité vide te trompe,
Au hasard, mauvaise apparence
Tu reviens à mes fenêtres.
N'essaye pas de toucher mes mains,
Ne cherche pas leur chaude caresse
Et n'incline pas tes tempes vers eux,
Avant que le soleil ne brille d'or.
N'essaye pas d'atteindre ma bouche,
Bien que leur douceur vous attire tellement,
Tu me trouveras froid, mauvais et vide
Et tu ne peux pas prendre de baisers.
Ne cherche pas mes yeux avec tes yeux
Même le désir des entrailles déchirait
Vous ne verrez rien en eux sauf l'obscurité,
L'aversion et le désir de la chair.
Le désert appelle ce soir,
J'allongerai mon visage jusqu'à la bouche d'un loup
Cet appel me fait arracher mes robes,
Le sang qui s'agite plus de tempêtes.
Et mes mains délicates,
dont tu loues les caresses,
Ils se transformeront en griffes d'animaux
Dur et tranchant, comme l'acier.
Les lèvres se recroquevillent dans une grimace furieuse,
Il exposera ses crocs assoiffés de viande,
Une lueur aussi blanche qu'une pâle étoile
Prêt à blesser, arracher et mordre.
Venez à moi, quand la nuit est finie
Quand les matines du ciel un cercle d'or,
je t'embrasse avec mes bras,
Plein de confiance et de bienveillance.
Mais cette nuit est gouvernée par la lune livide,
Et mon corps est empoisonné par les ténèbres,
On se reverra à l'aube,
Si tu ne deviens pas la proie de moi.
Prière du guerrier
Quel combat c'était! – Les dieux seront surpris,
Quand ils regardent le champ de bataille sanglant,
Aucune chanson de cette bataille d'actes ne le dira,
Que des cadavres partout, glissant du gore.
Le brouillard rouge souffle lentement sur mes yeux,
Mais je suis sûr, que j'ai courageusement fait la queue
Tout autour de moi le silence s'agrandit et je ne suis pas blessé,
Bien que je serai bientôt sur la rive morte.
J'attends les aigles maintenant – il devrait en être ainsi,
Pour que les aigles prennent les âmes des guerriers,
Le soleil se couche déjà et il fait froid,
Les cadavres reposent dans une formation pittoresque.
Merci mère – Les mocassins sont gentils,
Pour ça, que tu m'as donné naissance et m'a donné de la force,
La fin arrive, la brume sanglante obscurcit ses yeux,
Dans ton ventre-berceau aujourd'hui je trouverai une tombe.
Merci Roda, barbe d'argent sénile,
Pour ça, que tu m'as prodigué des richesses,
– J'ai toujours eu assez de terre, air et eau
Tu as planté du courage et du feu en moi.
Merci Perun, pour une bonne mort au combat,
Tu as menti aux sales calomniateurs,
Qu'est-ce qu'ils m'ont siroté du venin à la renommée de la boisson,
Tu les as punis d'une mort honteuse pour ça.
Ramène-moi à la maison aujourd'hui, Seigneur Navi
Qui m'a appris les mots pour enchanter dans une chanson,
Car avant que le coq chante,
Un esprit fier de mon sein percé disparaît.
Ombre et Flamme
Emmène-moi vers des terres étranges et lointaines,
Où il n'y a pas de désespoir, le silence est la loi,
Des abris pour les blessés, mort et estropié,
Pour ça, où l'ombre informe rencontre la flamme.
Ramène-moi à l'époque, êtres et mondes,
Où le vide tourbillonne, il n'y a pas de souvenirs,
Douleur et aucun soulagement, profit, ni perte,
Laisse moi tranquille et ne reviens pas pour moi.
Laisse moi y rester et ne m'appelle jamais,
Parce que je cherche une pause et je cherche l'Abîme,
Je suis dupé par des havres artificiels par une fausse vision,
Que je pourrais confondre mes illusions avec des rêves.
Ne me suis pas! Arrête à la toute fin,
Ce n'est pas un destin pour toi, même si tu le veux,
Vous n'êtes pas de la tribu Crippled Outcast,
Vous devez suivre d'autres chemins.
je vais rester ici, comme une pierre éternelle,
La Terre m'acceptera, son sol me consumera,
En elle, le cœur s'effondrera et finira par se briser,
Et je deviendrai une ombre absorbée par la flamme.
Parodie angélique
Aux portes de l'Abîme noir, sur ses gardes,
Ils sont éternellement enchantés dans la pénombre,
Chacun d'eux a sur chaque bras,
Mirages tissés aile de nuit.
Ils gouvernent les ténèbres et l'immensité de l'eau,
Ils ont soif de gens et tempêtent avec des voiles,
Quand leurs yeux brûlent d'étincelles,
Ils détournent le regard du dieu et du diable.
Je sais, qu'ils sont enveloppés dans l'obscurité quelque part,
J'entends leurs chuchotements sourds la nuit,
Parfois, ils clignotent un éclat argenté,
Leurs corps blancs, pas assez couvert.
Leurs mains, cependant, sont les plus terribles,
Quand vous savez, qu'avec de telles mains,
La mort se confond facilement avec les rêves,
Une fois que tu sens leur contact – pas plus!
Quand ils te conduisent à l'abîme,
Mystérieux, monstrueux et beau,
Je m'agenouillerai devant le trône de Swarog,
– Pour te protéger des anges.
Baltis
Je me souviens du vert frais, brille sous les paupières,
Quand j'ai ouvert les yeux et que je me souviens du silence,
Quelque part au dessus de moi, haut le vent a dansé avec les vagues,
Mais ses chansons que je ne pouvais pas entendre.
Petit poisson avec de petites bouches,
Ils me poussaient toujours du coude avec une curiosité confiante,
Quand j'ai décoré mon visage avec des écailles d'argent,
J'ai peigné mes cheveux avec un os blanc comme neige.
J'ai appris le secret de la profondeur secrète,
À travers des millions de nuances de vert
Jusqu'aux plus profondes mers de gouffres,
Où il n'y avait que du froid et des ombres.
Le Dieu Roi de la Mer m'a pris dans ses bras,
Il a pressé son visage contre mes cheveux avec des vagues,
Il m'a lié avec le pouvoir de son sort,
Il a attendu l'éternité, me trouver.
Il m'a caressé sauvagement, comme les courants sous-marins,
La flamme brûlait dans ses yeux d'ambre,
Vieux et beau, l'ancien et le sage,
Comme il m'a conduit à son alcôve royale.
Je me noyais dans son étreinte gourmande
il m'emmenait, quand il voulait, et il m'a toujours voulu
Puis il se balança jusqu'à ce qu'il s'endorme,
Un magicien de l'amour dans un théâtre sous-marin.
Et quand il a assouvi ses désirs,
Il se reposa à côté de lui dans l'abîme vert,
Bien que son corps ne connaisse aucune lassitude
Il a partagé ses désirs et ses rêves avec moi.
Je suis parti, je ne voulais pas rester en sécurité,
A ses côtés dans l'abîme sans fond
Mais des terres dures tu me manqueras pour toujours,
Parce que je suis dedans, et Baltis est en moi.
Dziadow Dziwowisko
pour grand-père Janusz
Dziady dans une demi-forêt calme, à la périphérie de la ville,
Et notre cercle est incomplet, comme si ouvert,
L'absence de quelqu'un, la douleur dans les coeurs augmente…
Un pas suffit pour faire s'effondrer les profondeurs du désespoir.
Le regret nous serre la gorge de chaudes larmes,
L'offrande de gâteau se refroidit dans des mains tremblantes,
Et chacun de nous communique en silence avec des fantômes,
Et tout le monde au coin du feu, comme s'il était agenouillé à côté d'un enfant.
La vieille chanson nous transporte vers des terres étranges,
Nous avons peur, plein d'incertitude,
Auquel des mondes nous regardons à travers nos larmes
En attendant que les invités invisibles viennent.
Et nous restons silencieux à regarder le feu,
Qui avec sa flamme, clignote ses dents comme un loup,
Quelqu'un regarde tout avec des yeux affamés,
Parce qu'il n'a jamais vu les monstres de Dziady.
Des invités de marque d'un pays lointain,
Les visages étaient couverts de tristesse et de réflexion
De la fumée bleue tourbillonne autour de leurs silhouettes,
Le pâle clair de lune brille à travers les arbres.
Beaucoup d'entre nous, mais il semble plus dans le crépuscule
Il y a une ombre lointaine à côté de chacun de nous,
Seulement ce soir, peut-être à nos côtés –
– se tenir debout, car il a un rêve pour toujours.
Miracles après le crépuscule
C'est déjà la nuit, les fleurs se cachaient la tête
Dans les jardins sauvages, oiseau cerise se délecte,
Le marin lunaire a influencé le ciel,
Alors que le dernier oiseau a survolé les vergers.
C'est déjà la nuit, la ligne verte s'assombrit,
Et l'obscurité inonde les champs et les vallées,
Le vent berçait les fiers arbres de la couronne
Au fond du secret, bassin fantomatique.
Des fées aux ailes froissées de somnolence
Aux cheveux emmêlés, plein de feuilles sèches
Ils jouent aux dés avec la carcasse de la tour
Et ils sirotent le nectar directement des grappes de raisin.
Des lacs, des articulations, à la surface de la vitre
Les enchevêtrements de jeunes algues se sont enfuis
– Cheveux de fée, dont chacun partira,
Si un pied humain entend sur le pont.
Flammes bleues, comme des bougies faibles
Une lueur fantomatique enveloppait les marais-
Là, les âmes des morts tendent la main,
Damned Mary danse sur le marais.
Si tu pouvais le sentir, voir et entendre
Tu dois savoir, que la magie marche à travers notre monde,
Mais tu te plonges dans un silence sans âme
Et tes yeux sont fermés à tous les miracles.
A trois heures du matin
Ascension de l'étoile polaire vers le ciel sans nuages,
Être le rayon du soleil le premier jour du printemps,
Ne sait pas, ne pas penser ou ressentir quoi que ce soit,
Se fondre doucement dans la non-existence sans sommeil.
Être une rafale de vent parmi les sommets des montagnes,
Du sable sous les paupières du pèlerin,
Libérez-vous de la douleur, désir, plaisir,
Tomber dans l'oubli, comme un cours d'eau sauvage.
Enracinement fermement dans le sol avec les racines de l'arbre
Et de ne pas ressentir l'impuissance enchantée de l'existence,
Dont le contact de la mort s'évanouit encore,
Et la vie s'écrase encore dans l'étau de la souffrance.
Tuez votre solitude avec le goût de l'absinthe
Un corps malade soumis au temps et à la luxure,
Nier les dogmes et les lois de la raison,
Abandonner les espoirs, qui errent encore dans le noir.
Ces pensées nous tourmentent pendant les heures de la nuit
Une journée chaude et lumineuse se transforme souvent en néant,
Mais la vie avec le délice des cous durs se plie
Et il transforme les faux soupirs en vérité.
Lech, Tchèque je Rus
Il était une fois des bois impénétrables qui poussaient ici,
Le cœur de cette terre battait parmi les racines,
Et le vent et la pluie ont écrit l'histoire
Une terre sauvage sur les faces des pierres.
Il y avait des mares sombres ici
L'animal sauvage ne savait pas quoi piéger, quels pièges
Et seulement la foudre a allumé les incendies
Et seuls les oiseaux pouvaient entendre les cris.
Il a réveillé cette forêt d'un sommeil centenaire
Quelques mouvements soudains et des voix inconnues,
Il a pénétré au cœur de la forêt de l'ombre
Un grand groupe de fauves.
Les oiseaux pleins de la canopée se sont tus,
Une bête sauvage se cachait dans l'obscurité
Même si c'était la première fois qu'il venait ici
Un homme vêtu de cuir au regard fier.
Le pays n'avait pas peur d'eux, sauvage et inconnu
L'ennemi n'avait pas peur d'eux, bête et blessures de combat
La nuit a été terrible, cri de guerre à l'aube,
C'est comme ça qu'ils ont pris la mort, comment les autres prennent leur vie.
Dans la lumière du matin, les boucliers brillaient d'or au soleil
Leurs fers de lance pointés vers le ciel
Ce peuple est venu d'un pays lointain,
Il a traversé de nombreux déserts et steppes.
Ils y menèrent leurs guerriers, où de nouvelles terres
Trois frères fiers, chefs de tribu;
Lech est aux cheveux d'or et dur comme du silex,
Il ne connaissait pas la peur, aucun goût de doute.
tchèque, sur les lèvres et les yeux qui rient
Dont la passion était la chasse-
Il a chassé un animal jour et nuit
Il était aussi très disposé à aimer.
Rus était silencieux, il pesait toujours ses mots
Avant qu'il ne dise quoi que ce soit, il était perdu dans ses pensées,
Mais même les anciens du conseil son discours
Elle a été utile dans toutes les détresses.
Les trois frères des guerriers envoyés dans un pays lointain
Ils ont pris les affaires, femmes et enfants
Ils sont partis à travers les montagnes, vallées et rivières,
Où qu'ils soient, le Swaróg doré brillait.
Tous les visages de Mokotów
Mokoszy béni
Un fardeau de céréales et de baies,
Nous sommes sortis de ton ventre,
Le Swaróg d'or les a mis enceintes.
Mokosza, Mère gracieuse,
Tu nous donnes de la nourriture et de la vie
Nourriture quotidienne de votre part
Notre cachette est en toi.
Moka mères douces,
Tu pardonnes nos péchés
Puissant, éternel et fertile
Déesse aux yeux verts.
Mokosza, mère blessée
Nous vous offrirons de généreux cadeaux,
Nous sommes hors de ton ventre
Nous y retournerons après notre mort.
Kupalnocka
Aujourd'hui c'est la fête du feu, eau,
Aujourd'hui, c'est la fête du Dieu Soleil,
Twilight commencera la jeune saison des amours,
Avant la fin de la journée.
Levez-vous, sœurs, frères en cercle,
Levez vos cornes,
Vos rôles vont se confondre aujourd'hui,
Aujourd'hui vos chemins se rejoignent.
Cherche tes mains,
Que le feu vous bénisse,
Que son temple se prosterne devant le temple,
Quand la flamme explose.
Soyons heureux ensemble aujourd'hui,
Que tout le monde danse, chanter,
Réchauffons-nous au coin du feu
Et allons parmi les arbres.
Parce que comme disent les vieux temps,
Cette coutume existe depuis des années;
Allez dans les bois à Kupalnocka,
Trouvez la fleur pérunique.
Tout est permis à Kupalnocka,
Aujourd'hui on danse, chanter, il boit,
Alors qu'il y a un feu dans la nuit,
Tu aimes aujourd'hui, tu es vivant aujourd'hui!
Pour ma mère
Je veux aller avec toi au bout du monde,
Cache toi, quand tu veux te cacher,
Paye la crinière des chevaux avec toi,
Cueillir les fruits des vergers de la vie.
Je veux que le destin te touche, caressé,
Et le bénit,
je regarde, chansons étranges
Ils n'arrêtaient pas de t'appeler dans l'inconnu.
Je te veux toujours avec moi
Dans le bonheur, rire et détresse,
Reste avec toi sans mots inutiles,
Rejoignez-vous en silence.
Je peux prendre n'importe quel geste d'aversion
Un flot de mots et un flottement de peur,
Tant que le destin t'épargne,
Tant que les dieux te gardent.
Ma mère, camarade
Mes envies, mes aspirations,
Mais je vais tout te dire,
Je vais lier mon étrange destin avec toi.
Tu sais ce que je rêve dans mon âme,
Qu'est-ce qui me dérange, qu'est-ce qui fait rêver,
Tu briseras une pierre de mon coeur,
Après tout, je suis de ton sang.
Le temps de la peur
Quand les cloches sonnent l'alarme,
Le temps infini s'écoulera,
Les trônes terrestres tomberont en poussière,
Quand le temps est terrible.
Les anciens dieux nous reviendront,
Ils passeront les seuils d'autres mondes,
Ils fouleront la croix, ce à quoi les gens sont hostiles,
Il a conduit à l'exécution pendant des siècles.
Le monde va courir un spasme de tremblement,
Les eaux des mers bouilliront,
Par une tribu humaine maudite,
Le désespoir et la peste tomberont.
L'humanité est marquée par une faille,
Le dieu étranger des fidèles trahit,
Son pouvoir tombe en poussière,
La rébellion est soulevée par les peuples libres.
L'enveloppe de l'illusion est tombée de ses yeux
Quant à un cercueil de terre en morceaux,
Ils tombent en morceaux rouges,
Enterrer la foi et l'espérance.
Le vent de l'histoire nous souffle au visage,
Jusqu'à ce que le sang coule,
La vieille histoire ne passera pas,
Le temps de la joie ne viendra pas.
La chanson de l'attrape-rat
Le monde se cachait quelque part,
Et la ville reste inchangée, continue toujours
Quelque chose nous dit de quitter les cases qui nous sont les plus chères,
Quand le Ratcatcher joue sa chanson sauvage.
Le concours après la chanson serpente comme un serpent,
Et les garçons en tête coupent les feuilles de tempête,
Les filles en robes bleues brillent,
Les jeunes boivent du vin dans des cruches.
Et leurs gazouillis et cris ont quitté la ville
Les habitants ont été surpris par le vide inaperçu,
Jusqu'à ce que le léger murmure de peur se transforme en rugissement,
Quand le silence a pris leur esprit et leur souffle.
Les filles sont parties, adolescents et chiens,
Cherchez vos propres jours et villes de gloire
Et seule la branche de lilas tremble et tremble,
Quand de trop jeunes oiseaux glissent hors des nids.
Trop tôt, trop vite, leur heure n'est pas venue
Le ratcatcher a joué des mirages dans ses chansons
Et ils tourneront leurs têtes brillantes plus d'une fois –
– Vers la ville, quand leur rage est la première à passer.
Trop tard! Le ratcatcher les guide sans paroles
La chanson touche le cœur et les éloigne,
Bien qu'ils sachent , il n'y a pas de ville de rêve là-bas,
Que pour eux seulement errer et regretter.
Et les chats près des poêles sont restés et ont rêvé,
À propos des champs de bataille recouverts de fumée
Et les habitants dorment à la place, tremblant dans leurs rêves,
De peur que des chansons sauvages soient rêvées d'eux.
Fête de Jare
Aujourd'hui est le jour de la fête de la Saint-Jean,
Louange Mokosz – Terre Mère,
A tremper d'humidité
Elle a porté le fardeau du fruit.
Louer le soleil, l'odeur de la terre,
Quel printemps apporte avec lui,
Laissez-les avec des miracles
Il mettra fin à l'hiver froid.
Le feu sacré chauffe la terre,
En donnant un exemple clair au Soleil.,
Qu'est-ce qui sommeille parmi les nuages d'hiver,
Qu'il réveillerait enfin son pouvoir.
Que les champs deviennent verts,
Qu'ils soient couverts de fleurs colorées,
Que les eaux scintillent d'or,
Chuchotant une chanson silencieuse sur l'été.
Que des enfants forts naissent,
Laissez les jeunes se réunir par paires,
Que notre voix vers les dieux s'envole,
Qu'il y ait la foi dans les cœurs.
Le printemps dans une douce brise
Il marche vers nous dans le blanc des fleurs,
Pour nous laisser dans l'émerveillement,
Que nous avons un miracle à nos pieds.
Clé de l'oie sauvage
Dans un rêve, j'étends mes bras
Comme des ailes longues et blanches,
Et je meurs déjà d'épuisement,
Le vent tire sur le corps engourdi.
Et je sens les plumes fraîches
Des nuages gris sur mon visage
Je tourbillonne et tombe dans la luminosité,
Bien que je doive voler dans l'arrière-garde.
L'obscurité s'enroule autour du cou,
Il aspire le souffle hors de votre poitrine
Et mon coeur bat fort,
Et une fissure grandit encore dessus.
Les yeux sont déjà flous
Lassitude, ciels sombres
Et la proximité autour des corps blancs,
Dans le noir, qui me fait peur.
Les lumières de la ville brillent au-dessous de nous
La nuit passa avec impatience,
Mais la fatigue augmente
Et un cri jaillit de sa poitrine.
Une chaîne d'oies sur ma maison
Il a volé en criant au crépuscule,
Bien qu'ils soient sauvages et craintifs,
Ils reviennent encore, Comme chaque année.
Paulina Deregowska
-***-
Le jour ne se lève pas sans le jour
Minutes sans contexte
Homme aveugle – doué de sommeil
Les morts ne connaissent pas l'heure
Le moment meurt sans nom
Des noms – oublié
L'être n'est que par l'identité
Homme par homme
Liberté de compréhension
Foi – depuis, qui la cherche
-***-
Comme un oiseau dans le ciel
Apparemment gratuit
Régner ne pense pas aux éléments
Soufflé par le vent
Il glisse vers sa destination
Comme avec sa force comme le vent
tu m'as pris
Comme un feu dans la maison
Fermé astucieusement
Il ne peut pas se contenter de l'esclavage
Brûlant de nostalgie
Il mange ce qu'ils donnent
Tu me gardes au chaud en brûlant de l'intérieur
Comme un oiseau malade
Jak cherche polano
Je ne peux pas apprivoiser le vent ou le feu
Impuissant en silence
Na zimnie jalowa
Je suis celui qui nous définit tous les deux
Naïvement
Des routes sombres nous mènent
Le tunnel noir mène au loin
La terre froide est bonne pour vos mains
Mauvais panneau indicateur – plus personne
Ils sont entourés d'une vision terrible
Nous rêvons tranquillement encore et encore
Que ce tunnel et le rêve sont étranges
Ce n'est pas le monde réel
Il faut se réveiller fort
Sortez du tumulus dans une lueur brillante
Rêver des vraies routes
Quand il est temps d'aller dormir
Prière
Mains stables, des épées tranchantes en eux
Ils sont la force de Dieu,
Les épouses fidèles et leurs ventres fertiles
Ils sont la force de Dieu,
La sagesse des enfants âgés et en pleine croissance
Ils sont la force de Dieu,
Travail sincère et pensées courageuses
Ils sont la force de Dieu,
Unité du peuple et frontières sacrées
Ils sont la force de Dieu,
Chambre, guerre, mort et renaissance
Ils sont la force de Dieu,
Propreté, vérité et mémoire des mots
Ils sont la force de Dieu,
Dieu voit sa puissance sur quatre visages,
Il peut voir ses nombreuses têtes et mains,
Dieu voit de vieux autels dignes,
Il voit, que son pouvoir durera pour toujours.
Nuit de Kupasa
Pour le feu et l'eau:
(lâcher des couronnes de feu)
De l'eau, éloigne le feu,
Brûler le feu, copain!
Les fruits de la terre,
Le pouvoir de l'eau,
Puissance de feu –
Ce sera lourd,
ça va être bruyant –
Encore une jeune nuit!
Chaud dans les temples,
Viol en tête, –
N'étanche pas ta soif,
Lave la honte de ton corps!
Nettoyer l'eau, protéger la nuit!
Combinez le feu et l'eau, relier!
Bohdan Ihorantonycz
Foi Verte
PLANTE VERTE DIVINE, ANIMAUX
CONFIANCE EN MA CONFIANCE,
DANS LA RELIGION DE CETTE NUIT DE PRINTEMPS,
QUAND LES PRAMOCS SONT EN SEPTEMBRE
ET ENCORE CHANGEANT DANS UN CHANGEMENT ÉTERNEL.
(EN RELIGION, LA CHALEUR DE LA NUIT RESPIRANTE,
QUAND LES PLANTES DE TEMPÊTE SONT ACHETÉS.)
DIEU VERT DE LA CROISSANCE
EN CENDRE, JE VAIS MOULURER MES OS,
QU'IL GRANDIRAIT, PAR KIPIAŁO
CORPS DE BOISSONS AUX HERBES VERTES.
QUI ES-TU, QU'EST-CE QUE VOUS MORDEZ LES CAOUTCHOUCS,
NETTOYER AU FEU, DIEU, UN OISEAU, TEMPÊTE?