Richard Farina – Ça fait si longtemps que ça me semble à la hauteur

Richard Farina – Ça fait si longtemps que ça me semble à la hauteur

Notre industrie de l'édition est incroyablement efficace pour nous apporter rapidement de mauvais livres. Paulo Coelho caszlnie, et nous avons déjà une publication polonaise avec une gorge claire, Dan Brown écrira une lettre à l'IRS, et nous pouvons le lire en belle (?) Langue polonaise sur la dernière page de "Życie na Gorało". Cependant, nous parvenons à manquer les vrais joyaux. Le dérapage numéro un est, bien sûr, l'absence d'une traduction polonaise du livre "Infinite Jest" de David Foster Wallace. Ce livre a déjà quinze ans, apparaît sur chaque liste des romans les plus importants du 20e siècle, mais il ne nous est pas encore parvenu… Pour améliorer nos traducteurs et nos éditeurs, je dirai, que ce livre n'est pas facile. De plus, j'ai plus 1000 pages. Mais depuis qu'on a pu traduire "Ulysse" de James Joyce (indestructible et merveilleux Maciej Słomczyński a combattu avec lui pendant treize ans), nous devrions aussi nous occuper de ce livre. je vais tricher, J'ai l'intention de mettre un doigt ou deux dessus.

Richard Farina - un classique des années 60

Deuxième livre, qui me vient à l'esprit est Been Down So Long It Looks Like Up to Me de Richard Fariña. Publié dans 1966 année, deux jours avant sa mort tragique dans un accident de moto. Je ne citerai que son début obsédé. Dans les articles suivants, je voudrais présenter les profils de ces deux écrivains inhabituels et inconnus en Pologne.

« A Athènes alors. Jeune Gnossos Pappadopoulis, ours poilu caca, gardien de la flamme, il est revenu de naviguer sur des mers asphaltées, déversé dans les grands déserts: oh autoroute! nous 40 et sans fin 66, Je suis à la maison à des gorges inondées par les glaciers, lacs de doigt, les filles en or de Westchester et Shaker Heights. Regarde moi, sonne comme des mensonges, taper du pied dans ses bottes, avec un esprit pétri d'illusions.

Maison d'Athènes, où Pelenelope s'adonne à l'extase joyeuse de l'infidélité, où Télémaque déteste son père et essaie de le frapper à l'aine, où vieux, le patient Argus est au trot, saluer son retour, monsieur fatigué et introduit une épingle dans la jambe qui est coincée par la contraction, l'infectant avec une horreur pleine d'hydropathie. O, Bonjour,

parce que la maison est un fou,

la maison de ses rêves

je satyrem,

maison pour la fenaison,

que le soleil brille ou pas, car dans ce pays bien montagneux de pressions et d'erreurs géologiques, il pleut toujours beaucoup."