Punition pour la sieste dans le lit du président Chirac

Punition pour la sieste dans le lit du président Chirac

La commission disciplinaire de la police française a interrogé un policier, sur le point de faire la sieste dans le lit de Jacques Chirac. La décision finale quant au sort du policier sera prise par le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy. L'incident a eu lieu dans la capitale du Mali, bamako, où s'est rendu le président Chirac, participer au Sommet franco-africain. L'avion présidentiel était gardé à l'aéroport par un policier des unités de garde des dignitaires de l'État. A un moment il s'est senti mal. Il s'est assis sur le lit du président dans l'avion et a fait une sieste de quelques heures, d'où le suppléant l'a réveillé. Selon ce dernier, le policier était censé être sous l'emprise de l'alcool, mais l'état de sobriété n'était pas précisé, parce que personne n'avait d'alcootest.

Le policier a expliqué son bien-être avec des médicaments antipaludiques, qu'il a pris avant le voyage et la chaleur de l'avion, dans lequel la climatisation a été éteinte pendant le séjour à l'aéroport.

L'alarme a été donnée par le majordome de l'Elysée, lequel, avant le départ de Chirac du Mali, il a déclaré, le lit est mal fait, et les draps étaient froissés et salis. Selon les commentateurs, le policier encourt de sévères sanctions disciplinaires.